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Archive for juin 2018

Les Elfes sont des êtres aux oreilles pointues, à l’apparence svelte et gracieuse. Ils sont notamment connus pour leur affinité avec la nature et la magie.


Histoire
L’histoire des Elfes est encore pour beaucoup un mystère, notamment parce qu’elle présente de grosses incohérences encore inexpliquées. Des fouilles archéologiques ont en effet mis en évidence des traces de langues elfiques un peu partout à travers le monde (notamment inscrites sur de la pierre) datant d’une époque bien antérieure à celle de la naissance de l’Humanité. Leur incroyable conservation s’expliquant par leur haute teneur en magie... Pourtant, à part ces écritures, il n’existe aucune trace d’un peuple elfique ayant vécu sur Terre à ces époques.

Les premiers Elfes jamais croisés se trouvaient à Ujisawa, la fôret d’Hiromae. Lors d’une expédition organisée en 609 AP J.C. dans la région afin de pouvoir topographier l’Île, mais aussi dans l’espoir de trouver des endroits adéquats pour construire une nouvelle ville, un petit groupe d’explorateur tomba nez à nez avec une communauté d’une cinquantaine d’Elfes. Une fois la barrière de la langue dépassée, ce qui prit tout de même quelques semaines, les Fondateurs réussirent à faire adhérer les sylvains au projet de création d’Hiromae, notamment en leur proposant d’avoir une place toute particulière dans la gestion des zones naturelles.

Mais la nature magique des Elfes amena le Conseil des Archimages à s’intéresser à eux d’un peu plus près. Certaines avancées magiques furent d’ailleurs possible grâce à cet échange de connaissances ; mais surtout, l’on put enfin identifier la mystérieuse langue antique que l’on retrouvait parfois à travers le monde. Les sylvains d’Ujisawa niait cependant avoir déjà quitté l’Île. D’aussi longtemps que les plus vieux d’entre eux s’en souvenaient, ils avaient toujours vécu ici, et rien n’avait jamais existé à part cet endroit. Savoir depuis combien de temps exactement les Elfes étaient dans Ujisawa est également une énigme, le temps ayant sur leur vie très peu d’incidence, le passage du temps est donc très peu important pour eux. En effet, avant l’arrivée des Fondateurs, ils ne possédaient pas de calendrier ou même de système pour décompter les heures, se contentant simplement de vivre au même rythme que la nature… Et pourquoi ne jamais avoir quitté la forêt ? Selon leurs dires, c’était leur devoir

Pendant quelques centaines d’années on tenta de résoudre cet étrange mystère, leur faisant passer des scans magique, tentant de lire leur mémoire… Mais rien ne fût concluant, toutes les analyses arrivant à la même conclusion que les récits donnés par les Elfes. Comme si toute une partie de leur vie antérieure avait été effacée, et qu’ils avaient été placé dans une bulle hors du temps qui s’était brisée au moment où l’on avait découvert leur campement… L’histoire des sylvains avant leur rencontre avec les Fondateurs est encore aujourd’hui un sujet très étudié et prisé par les archéologues et historiens de la Magie, qui tentent toujours de percer ce mystère.

Les Elfes évoluèrent donc sur Hiromae en harmonie avec les autres races. Mais ce contact avec de nouvelles cultures firent quelque peu évoluer leur mentalité, et bientôt, certains eurent envie de découvrir le monde après avoir vécu reclus sur l’Île. Malgré la politique de fermeture des frontières, on autorisa, en 889, une vingtaine d’Elfes environ à quitter Hiromae pour aller découvrir le monde extérieur et y bâtir de nouvelles communautés. La seule condition était bien évidemment que celles-ci restent cachées aux yeux des humains, afin de préserver le Monde Magique. On vit bientôt apparaître des groupements d’Elfes en Irlande, en Angleterre, en Norvège, au Japon, en Amazonie… Des communautés qui se développèrent au fur et à mesure des années, toujours en gardant des tailles « humaines », ne dépassant jamais une trentaine de membres.

Mais la révolution industrielle bouleversa complètement le mode de vie des Elfes. L’expansion fulgurante des humains et leurs utilisations des ressources naturelles touchaient directement leurs habitats, et ils étaient de plus en plus compliqué pour eux de vivre à l’abris des hommes. A la fin du XIX siècle, il fût décidé de rapatrier l’immense majorité des sylvains à Hiromae, afin de pouvoir les préserver. Les autres furent invités à rejoindre le Royaume des Fées.


Particualrités
Physique svelte : Les Elfes sont particulièrement reconnaissables à leur physique : des oreilles pointues, un corps fin et élancé, des gestes graciles… Ils sont souvent considérés comme un peuple particulièrement beau et séduisant par la plupart des autres races.

Être magique : Le lien entre les Elfes et la magie est particulièrement fort. Possédant l’Etincelle de manière innée, il semblerait qui plus est qu’il soit les seuls à posséder une source de mana propre, qui leur permet de ne pas être affecté par les Zones Mortes. Excellent magicien de fait, la nature réelle de leur relation avec la Magie reste inconnue à ce jour.

Bretteur et Archer : Il serait une erreur de penser que les Elfes compte seulement sur la magie lorsqu’il s’agit de se défendre. Ils sont généralement de très bon archers et bretteurs. L’utilisation des armes était à la base dédiée à la chasse, mais elle s’est développée au fil des années pour devenir un véritable art martial. Si leur corps leur assure une agilité sans égal, il est très courant que les jeunes Elfes reçoivent un enseignement « basique » à l’utilisation de l’épée et de l’arc.

Lien avec la Nature : Les mauvaises langues vous diront que les Elfes sont le cliché de l’écologiste très engagé pour sa cause… Sans aller jusque-là, il faut reconnaître que les sylvains ont un très grand respect pour la Nature, et qu’ils en sont des fervents défenseurs. Leur religion les encourage également à croire que tout être vivant a un esprit et qu’un être « pensant » n’est pas supérieur à un être qui ne l’est pas. Ils ont d’ailleurs souvent beaucoup de mal à évoluer dans des milieux citadins, qui leur provoque un profond malaise.


Us & Coutumes
Culture Elfique : Le patrimoine elfique est particulièrement dense. En plus d’avoir leur propre langue, les Elfes ont également leur propre style de musique (composé souvent d’instruments semblable à de la harpe ou à des flutes), leur style de danse, d’artisanat… Avec le temps, cette culture a influencé les habitants d’Hiromae et fait désormais partie intégrante des coutumes de l’Île, même si il est évident que les Elfes restent les plus dignes représentants de ces traditions.

Ils ont également leur propre religion, appelé le Voronwë.

Le Départ : L’immortalité est souvent perçue comme un magnifique don. Mais parfois, elle peut se transformer en fardeau lourd à porter. Il semblerait que lorsqu’un Elfe atteint un certain âge, pas vraiment précis en termes d’année, mais plutôt lorsqu’il semble avoir réaliser tout ce qu’il souhaitait accomplir dans sa vie, il lui soit possible de se « laisser aller » et de mettre un terme à sa vie. Le Départ se déroule en général sous forme de cérémonie en pleine nature durant laquelle toute la famille ainsi que les proches sont conviés. Le sylvain ayant décidé de terminer son voyage s’allonge sur un lit de feuille arrangées pour l’occasion, et s’endort. Au bout des quelques instants, son corps disparait pour ne laisser que quelques graines, dont l’espèce diffère selon la personne. Il est d’usage des les planter proche de la demeure familiale, ou dans un lieu significatif pour le défunt.

Enfanter : La décision d’avoir un enfant ne se prend pas à la légère chez les Elfes. En effet, lorsque l’on est un être immortel, engendrer une progéniture à plus de conséquences que pour d’autres ; d’autant que leur puissance de sang génère des sylvains dans la majorité des cas. Il était, qui plus est, habituel pour eux de se limiter à de petites communautés, afin de rester le plus discret possible. Avoir un enfant est donc toujours un grand événement, et surtout la preuve d’un grand amour entre les deux parents. Il est assez rare pour un Elfe d’avoir un frère ou une sœur, la plupart d’entre eux étant enfant unique.


Vie à Hiromae
Les Elfes vivants d’Hiromae sont, pour la plupart, nés sur l’Île. Ceux d’entre eux qui ont une nationalité étrangère sont nés dans les communautés s’étant émancipées par le passé, mais ayant dû faire machine arrière et revenir sur Hiromae ; ils ont, de ce fait, toujours au moins 150 ans.

La majorité des sylvains vivent à Brhuerd. Il arrive que certains viennent à la Pension pour faire leurs études, ou décide de vivre à la Capitale pour exercer un métier particulier, mais ils ne représentent qu’un petit quart de la population elfiques. Ils choisissent en général des métiers alliant magie, aide à la communauté et nature ; ainsi, on peut trouver beaucoup de guérisseurs elfes, mais également de naturalistes ou d’herboristes… La 7e compagnie, régiment de la Garde Royale chargée d’assurer la protection d’Ujisawa mais aussi du respect de son eco-système, est traditionnellement composé en grande partie d’Elfes.


Elfe

lundi 4 juin 2018
Posted by Hiromae
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Les Androïdes sont une race artificielle, des machines sculptées par l’homme à son image et dotées de technologies très avancées par rapport aux standard de l’Humanité. Créatures sans âmes, ces entités de métal se distinguent tout de même des robots par leur sentience, leur conscience de soi, qui en fait des êtres à part entière.


Histoire
Depuis l’aube des âges, l'Humanité a toujours été obsédée par l’idée de sa propre création. Il y a depuis, à cet égard, deux courants de pensée très distincts. Beaucoup, croyant en un Dieu ou une autre Force supérieure, trouvèrent réponse dans les textes et les récits régissant leur vie. D’autres, cependant, à l’esprit scientifique et plus sceptique, ne se satisfèrent jamais d’une explication aussi aisée, et tentèrent très tôt de reproduire eux-mêmes le phénomène de leur propre création. Par la magie, cela déboucha sur la création d’homonculi. Mais lorsque la technologie commença à devenir suffisamment avancée, offrant de nouveaux moyens et de nouvelles méthodes, le chemin de beaucoup de ces sceptiques et de ces avides de savoir prit un tournant décisif.

Le Docteur Frankenstein, bien que vu par la majorité à son époque comme un fou, fut le premier à marcher sur cette nouvelle voie. Et bien que sa Créature fut techniquement considérée comme un homonculus, car entièrement faite de chair, beaucoup la voient comme étant le premier Androïde de l’Histoire, non à cause du résultat mais à cause des méthodes ayant menées à sa naissance.

Bien des années plus tard, les films de science-fiction sont devenus réalités. Dans de nombreux centres de recherche, dans les ateliers de génies anonymes, dans des laboratoires développant de nouvelles technologies, de véritables androïdes voient le jour de plus en plus régulièrement depuis quelques années. Aboutissement de siècles d’acharnement scientifique, utilisant parfois même des notions ésotériques pour dépasser le stade du simple robot et repousser les limites de la science, des créateurs de tous horizons parviennent enfin à créer non plus la Vie, mais bien l’Esprit, au sein de corps de métal normalement sans coeur.


Particualrités
Sans âme : Les scientifiques capables de créer des androïdes sont des génies disposant de secrets ou de moyens encore inaccessibles à la plupart de leurs consorts. Toutefois, si grâce à cela ils parviennent à créer des êtres artificiels disposant de leur propre esprit, leur propre conscience au-delà d’une simple IA très avancée, ils sont toujours incapable de sonder, appréhender et reproduire les tréfonds et les mystères de l’âme humaine. Ainsi, si les androïdes sont capable d’avoir une conscience et des raisonnements suppléant les limites d’une programmation, ils n’ont pas d’âme propre, pas d’identité qui les imprime dans la trame même du monde et de la magie. Cela implique beaucoup de choses pour eux en tant qu’individus, notamment que rien ne pourra jamais les affecter aussi profondément que les autres êtres plus “naturels” - même leurs cousins magiques, les homonculi, peuvent parfois prétendre posséder une âme -, et il leur arrive fréquemment de ressentir un “vide” en eux, comme un manque identitaire profond. Il n’est pas rare qu’un androïde ayant perdu sa fonction première (qu’il s’agisse de son créateur, de la tâche pour laquelle il a été créé, ou du rôle qu’il est sensé occuper) finisse par s'autodétruire, incapable de trouver une raison d’être et de combler ce vide en lui.

Androides et Technomagie : Malgré tous les moyens dont dispose aujourd’hui l’Humanité en terme de technologie, il n’est pas rare même pour les plus doués et les plus nantis de buter rapidement contre des limites bien nettes lorsqu’il s’agit de franchir de nouvelles étapes. Ainsi, parmi ceux désirant créer un androïde, certains ont-ils recours à plus que de la technologie. Toutefois, quels que soient les moyens ésotériques mis en place pour repousser les limites du possible, la technomagie reste irrémédiablement hors d’atteinte même des meilleurs. Certains androïdes peuvent par exemple être alimentés par magie afin de régler les problèmes d’alimentation en énergie, mais leurs systèmes et fonctionnalités resteront strictement technologiques. Pareillement, si un système anti-grav peut être généré par magie, un canon ne tirera pas de projectile magique, et le système synaptique sera toujours technologique. En somme, l’influence de la magie se limite à de la génération ou de la conversion d’énergie, mais ne peut en aucun cas produire directement des effets magiques en étant couplée à de la technologie.


Us & Coutumes
Peuple sans Histoire : les Androïdes, de par leur naissance éparpillée de par le monde et la jeunesse de leur race, ne peuvent pas vraiment être considérés comme un “peuple” en tant que tel, du moins pas encore. De fait, ils ne possèdent aucune culture qui leur soit propre, et la diversité de leurs créations et de leurs raisons d’être rend impossible l’établissements d’une quelconque forme de traditions dans l’état actuel des choses. De fait, la plupart des Androides, toujours en quête d’identité propre, à souvent tendance à copier la culture et les traditions de leurs créateurs, tout en étant conscient, au fond, de seulement faire semblant...


Vie à Hiromae
Les Androïdes sont extrêmement peu nombreux à Hiromae, une poignée tout au plus. Les raisons en sont simples : ils forment pour commencer le “peuple” le plus rare du monde, leur race étant à bien des égards tout juste naissante et la création du moindre individu relevant de miracles d’ingéniosité et de technologie ; ensuite, il est rare que des androïdes soient véritablement “libres”, car ils sont le plus souvent créés pour une tâche ou un rôles spécifique (et il est pour ainsi dire douteux que quiconque puisse créer un androïde directement sur Hiromae considérant le très faible niveau technologique présent sur l’île) ; et pour finir, la majorité des rares androïdes perdant les chaînes avec lesquelles ils sont nés s’autodétruisent, ou errent sans but sans même connaître l’existence de l’île.

Toutefois, il peut arriver que l’un d’entre eux arrive sur le Royaume caché, soit par invitation des instances de l’île, soit parce que son créateur vient y chercher refuge pour une raison obscure. L’intégration de ces androïdes est souvent complexes. Êtres technologiques au milieu d’un Royaume de magie, entités sans âmes à l’endroit du monde où celle-ci a sans doute le plus d’importance, ils ont des difficultés à se faire accepter et parfois même à simplement faire valoir leurs droit d’ tant qu’individus à part entière, leur naissance artificielle important moins dans ce genre de cas que le fait qu’ils ne soient pas vivants à proprement parler. La pension de l’île est peut-être l’un des rares endroits où cette vérité se fait moins ressentir, le caractère académique des lieux et la jeunesse générale de ses occupants laissant moins de place aux préjugés de ce type.


Androïde

dimanche 3 juin 2018
Posted by Hiromae
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Les Shiatsuku sont des êtres mi-homme mi-dragon, créé lors d’un pacte avec le dragon Hiro. Leur puissance et leur implication dans la vie de l’Île inspire souvent le respect.


Histoire
Alors que le nouveau mode de vie des Fondateurs, premiers arrivés sur l'île était déjà fébrile face à cause des combats incessants entre Hiro, le Dragon de cuivre, et Mae, l’entité du Crystal, qui dominaient alors l'île, ils tentèrent tant bien que mal de faire cesser le conflit. Mais si Mae se laissa convaincre assez aisément, le Dragon, lui, restait inébranlable et difficile à approcher.

Ishigawa Seiki, un Onmiyoji d’une vingtaine d’année, pris sur lui de résoudre seul ce problème. Il se rendit dans le Fanond Linaë sans aucune arme, juste avant l’aube, désirant profiter du sommeil du dragon. Il s’assit au centre du cratère, et révéla un Shakuhachi, une grande flûte traditionnel japonaise fabriquée en bambou. Il commença alors une douce mélodie, qui résonna bientôt dans tout le Fanond Linaë et réveilla Hiro. Le dragon, intrigué par cet étrange bruit qui ressemblait quelque peu au son du vent qui coule dans sa grotte, sorti de sa tanière pour venir écouter le jeune magicien. On raconte qu’il joua pour lui pendant presque deux jours et deux nuits et que les mélodies qu’il interprétais étaient si douces et si apaisantes qu’elles enchantèrent son instrument… Hiro, touché par ce petit être qui lui avait fait un si beau présent, choisit de lui accorder ce qu’il n’avait offert à aucun autre : s’approchant de Seiki, il enveloppa le jeune onmiyoji de son Souffle, lui permettant ainsi de comprendre la langue draconique. Cette instant sera connu par la suite comme « Le Premier Pacte ».

La communication rendue plus facile, Seiki pu donc expliquer au dragon la volonté des Fondateurs, la nécessité de la fin du conflit avec Mae et surtout, l’intérêt de construire un lieu de préservation de la magie et des « êtres surnaturels ». Si Hiro semblait bien comprendre tout ces arguments, sa fierté lui interdisait encore de s’incliner face à Mae et la traite se fit attendre jusqu’au mois de Juin. La Réunification de l’Île fût enfin possible.

Hiro resta quelques temps dans son cratère, répondant à quelques rares occasions aux questions des nouveaux habitants. Au fur et à mesure que des bateaux arrivaient, cependant, il prenait conscience de la nécessité pour lui de trouver un nouveau territoire. Finalement convaincu, toute fois, du bien fondé et surtout de l’utilité primordiale de la création d’Hiromae, il proposa un Pacte avec plusieurs individus, afin que son héritage perdure même après son départ. C’est bien évidemment Seiki qui fût chargé de choisir les futurs pactisants. Il désigna des personnes ayant des affinités ou des culturs les sensibilisant à l’univers draconique : Shimeko Hanae et Yamato Denjirô, une Esper et un Mage japonais, Feng Wei Jiang un Chaman et Adrianka Janežič, une Guardian slovène. Le Second Pacte se déroula dans la tanière d’Hiro, et au bout d’un long rituel, les cinq « élus » ressortirent non plus en tant qu’Espers, Guardian ou Magicien, mais en tant que Shiatsuku.

Ainsi Hiro quitta l’Île et l’histoire des Shitasuku se mêla avec celle d’Hiromae. Parmi leur plus grands accomplissements, on peut notamment cité la structuration et la retranscription de la langue draconique sous forme écrite.


Particualrités
Apparence draconique : Les Shiatsuku sont particulièrement reconnaissables à leurs attributs physiques draconiques variés. Certains ont des membres totalement recouverts d’écailles, d’autres des ailes, d’autres encore simplement des yeux aux pupilles fendues… Certain, même, ont tout cela à la fois.

Compréhension draconique : Tous les Shiakutsu sont, de par leur héritage particulier, capables instinctivement de comprendre la langue draconique. Il s'agit cependant là d'une compréhension intuitive et innée : ils doivent tout de même l’étudier pour être capables de la parler ou l'écrire.

Nom invariable : Petite particularité grammaticale, le mot « Shiatsuku » est invariable et ne prend donc jamais de S. Pourquoi ? Mais parce que de vulgaires règles grammaticales ne sauraient atteindre un nom draconique, voyons…


Us & Coutumes
Les Clans : Les Shiatsuku s’organisent en clans, aussi appelés Familles, ayant chacun pour but de faire vivre à leur manière l’héritage draconique. Si à la création de la race les Clans n’étaient qu’au nombre de 5 (Ishigawa, Shimeko, Yamato, Wei Jiang et Janežič), on dénombre aujourd'hui une quinzaine de clans majeurs issus des Clans originaux, et plus d'une trentaine de Clans mineurs… L'appartenance à un Clan est très respectée, pour ainsi dire considérée comme sacrée. Il est d’usage que chaque clan possède un objet, souvent magique, qui se transmet de génération en génération pour représenter le Clan et perpétuer la tradition. Ainsi, un Clan devient un symbole et une fierté, d'où le terme de Famille, au fil du temps passé dans l'usage.

La naissance d’un nouveau Clan doit être validée par les descendants des 5 Familles fondatrices, et doit en général justifier d’un « haut fait » de la part du Shiatsuku qui veut créer sa nouvelle lignée. A noter que si à l'aube de la race, la création d’un Clan était assez aisée de par le faible nombre d’hybrides draconiques, il est devenu beaucoup plus difficile d’en fonder un depuis environ 300 ans.

Honneur et Droiture : Ces deux notions sont vues par la plupart comme la devise des Shiatsuku. Elles désignent les valeurs que prime par-dessus tout le peuple Shiatsuku, premier représentant et défenseur de la culture hiromaenne. Plus que de simples concepts, ce sont des qualités dont les hybrides draconiques suivent chaque aspect comme des piliers de leur vie, et tout habitant d'Hiromae le sait et le respecte.


Vie à Hiromae
Les Shiatsuku forment un peuple exclusif à Hiromae. Ils y sont nés et ont façonné l'évolution de l'île en grandissant avec elle. Il est arrivé, au fil de l'Histoire, que quelques rares individus soient autorisés à quitter l’Île, dans l'unique but de se lier avec d'autres Dragons, ou transmettre leur savoir à des peuplades ou en des lieux bien spécifiques. Nombre de Shiatsuku se retrouvent encore aujourd’hui dans la noblesse, ou à des rôles clés dans la société de l’Île. Cela leur donne auprès de certains une image d'« arrivistes », nés avec une cuillère en argent dans la bouche, comme s’il était plus facile pour un Shiatsuku que pour n’importe qui d’accéder à certains postes. Ils n'ont pas tort.


Shiatsuku

Posted by Hiromae
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