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Organisation du Travail
Les lois concernant le travail sur Hiromae ne sont pas établies par la Royauté. En effet, chaque corps de métier est regroupé en guildes, elle-même formée de confréries. On peut par exemple citer la célèbre Guilde des Marchands, composée de la Confrérie des Armuriers, la Confrérie des Epiciers, la Confrérie des Antiquaires etc… Mais il en existe beaucoup d’autres, comme la Guilde des Artisans, la Guilde des Forgeron-Mineurs, la Guilde des Guérisseurs…

Ce sont les confréries qui sont chargés d’établir les différentes réglementations propres à la profession, comme le nombre d’heures minimum ou maximum travaillé, le salaire minimum etc… Il n’y a pas de chef de confrérie, et chaque décision est prise par la confrérie entière, souvent sous forme de vote ; la convention étant accepté uniquement si la majorité le souhaite.

La Guilde s’occupe de la cohésion entre les différentes confréries. Il n’y a pas de chef de Guilde, mais un Administrateur qui est élu par tous les membres. Son rôle est notamment de représenter les intérêts du groupuscule auprès de la Royauté et des autres Administrateurs de Guilde, de gérer toute la partie administrative (aidé de ses assistants qu’il choisit lui-même) et au besoin de jouer le rôle de diplomate entre les confréries. Il n’a donc pas de pouvoir décisionnaire à proprement parler.

Toute personne souhaitant pratiquer une profession représentée par une Guilde doit s’inscrire à cette dernière, selon quoi l’activité sera considérée comme illégal. Par exemple, une personne souhaitant cultiver et vendre ses légumes doit impérativement s’enregistrer à la Guilde des Agriculteurs-Pêcheurs, sans quoi elle pourra être sanctionnée. Notons cependant qu’une personne cultivant pour sa consommation personnelle et non à but commercial n’a nul besoin de se signaler.

Il n’y a aucun frais d’inscription lors de l’entrée à une Guilde ; néanmoins tous les membres doivent reverser un pourcentage sur leur revenu, afin de rémunérer les employés réguliers et les différents frais engagés de cette dernière, mais également de payer des impôts à la Couronne.

A noter : Il n’existe pas de Guilde d’Aventuriers. En effet, cette profession est volontairement laissée libre de toute contrainte, afin de laisser n’importe quel citoyen libre de réaliser de quêtes sans critères particuliers ou loi spécifique à la profession.


Les agents de la Couronne
Il existe cependant toute une catégorie de personne dont le travail n’est pas légiféré sous l’autorité d’une Guilde, mais sous celle du Trône. Les agents de la Couronne seraient ce que nous pourrions appeler les fonctionnaires. Ils sont rémunérés par la Royauté, et les règles concernant leurs conditions de travail sont également fixées par celle-ci. On pourra donc y croiser pêle-mêle les Gardes Royaux, les enseignants et le personnel de la Pension, les agents du Bureau des Quêtes… Ou encore des postes plus prestigieux comme celui de Seigneur ou Dame.


Chômage
Il est extrêmement difficile de parler de chômage en ce qui concerne Hiromae. En effet si une partie considérable de la population (environ 40%) n’a pas un emploi considéré comme « stable » (donc faisant parti d’une guilde ou en étant agent), l’absence de travail n’entraîne pas de conséquences néfastes pour la plupart des personnes concernées. Il s’avère même que dans la majorité des cas, cela soit un choix.

Hiromae reste une île avec beaucoup d’endroit peu civilisé, et il est tout à fait possible de se contenter de vivre de peu. En dehors des villes et des zones dangereuses, n’importe qui peut se bâtir un logement de ses propres mains, du moment qu’il respecte son environnement d’origine et qu’il n’empiète pas sur le lieu de vie d’autrui. Certains citoyens prennent donc le pari de vivre en autonomie totale, construisant eux même leur logement et gérant leur ressources en cultivant la terre ou en allant chasser ou pêcher. Un mode de vie qui correspond d’ailleurs beaucoup à la mentalité de la plupart des races sylvaines ou toutes celles qui sont de près ou de loin lié à la nature. Il y a donc aussi un aspect culturel à ne pas vivre avec un travail, mais de garder un fonctionnement très ancestral.

Il est également possible de gagner de l’argent de manière très facile grâce au divers quête proposées. L’obtention d’une licence, tout comme son changement de rang est gratuit, et une partie des hiromaens se contente de ces « petits boulots » et de cette vie au jour le jour.


Travailler à Hiromae

samedi 12 août 2017
Posted by Hiromae

Créé en 642 AP-JC, le Traité des Races est un décret qui permet de définir les ayants droit d’accession à la citoyenneté sur Hiromae.

Contenu
Le Traité regroupe toutes les races pouvant prétendre devenir citoyens sur Hiromae et se réfugier sur l’Île. Il engage également à respecter et à se soumettre à l’autorité du Trône et des Lois de la zone insulaire une fois sur celle-ci. Il compte à l’heure actuelle 45 races (NDR : ce sont également les races jouables).


Histoire
Le Traité des Races fût créé peu après la politique de fermeture des frontières. Le besoin de protection et de sécurité encouragea la reine Miyuki à créer un royaume plus « stable » mais également plus régulé et légiféré. Il était également important de définir qui aurait le droit d’accéder à l’Île pour y devenir un habitant.

Il fût donc décider que chaque race souhaitant avoir la possibilité de devenir citoyen d’Hiromae devait trouver trois représentants, qui apporteraient un papier signé par au moins 100 membres de leur race (ou plus selon l’importance de la race en question). Les représentants auraient ensuite des pourparlers, afin de s’assurer que la race pourrait s’intégrer sans problème avec les autres déjà présente, et mettre éventuellement en place certains dispositifs pour aller dans ce sens au besoin (comme ce fût le cas pour les vampires ou les succubes par exemple).

La mise en place du traité fût assez compliquée. Si la ratification des races les plus représentées à l’époque sur l’île (Magiciens et Espers), ou celle qui sont apparus directement sur Hiromae (Shiatsuku et Princesse de Cristal) fût assez simple, on ne peut pas en dire autant pour le reste. Il fallut contacter beaucoup de monde à l’extérieur pour s’assurer du bon déroulement des accords. La Garde Royale fût également mobilisée pour se rendre auprès des races « locales », déjà présente avant l’arrivée des premiers bateaux, doté d’une intelligence, comme les Satyres ou les Nyxes. La plupart des peuplades refusèrent, souhaitant garder leur indépendance et ne voulant pas se mettre sous le joug d’une autorité royale. Seul les Elfes semblèrent trouver l’initiative judicieuse, et acceptèrent rapidement le Traité.


Polémique
Le Traité des Races est encore à l’heure actuelle, l’un des sujets les plus polémiques d’Hiromae. En effet, si il « protège » les individus ayant contractés le décret, il laisse complètement de côté les autres races, les reléguant à un statut jugé inférieur pour certains. Car si la Loi Hiromaenne permet de protéger ses citoyens et d’assurer une certaine justice, il n’y a aucune mise en place pour ce qui est des peuplades non répertoriées.

Par exemple, un citoyen ne peut pas être condamné pour avoir volé, tué ou violé un Satyre. A fortiori, il sera impossible de traîner un Satyre en justice si il a volé, tué ou violé. Aucune loi ne s’applique avec les races « Hors Traités » , à part peut-être « œil pour œil, dent pour dent ».

La seule réaction des autorités est donc celle de la mise en place de « Zone Dangereuse », qui ne sont ni plus ni moins que des formes de parcs permettant aux espèces d’Hiromae de vivre hors de la Royauté. Les citoyens, quant à eux, savent qu’ils se rendent dans ces zones à leurs risques et périls. Il est à noter que la Garde Royale surveille également que le nombre d’individus par races locales ne diminue pas de manière inquiétante, afin de préserver l’écosystème naturel de l’Île. C’est ainsi qu’entre 1519 et 1602, il était interdit de tuer des Arachnéas sous peine (cette fois-ci) d’être condamner par la justice. Cette forme de « parcage » est très mal vu par certains habitants d’Hiromae, en particulier ceux qui ont un lien fort avec la nature comme les races sylvaines, ou ceux vivant proche des zones dangereuses. Pour ces personnes, tous les individus devraient être protégés par la loi de la même manière.

C’est une des polémiques qui sera soulevée pendant la Révolution, et qui encouragera certains à se ranger du côté des révolutionnaires.


Traité des Races

Posted by Hiromae

Apparu peu après l’instauration de la royauté, la noblesse Hiromaenne est beaucoup plus décorative qu’elle n’a de réel poids sur la politique du Royaume. Il va cependant de soit qu’être Noble reste quelque chose d’extrêmement prestigieux sur l’Île, et que ce statut apporte quelques avantages.
Devenir Noble
La noblesse s’acquiert de trois manières différentes :

  • La première, via le sang, c’est-à-dire en naissant dans une famille déjà noble. Les titres de noblesse sont en effet héréditaires, et certaines familles font parti de la noblesse depuis plusieurs siècles déjà.
  • En accédant à certains postes particuliers, comme celui de Seigneur ou Dame ou encore celui de membres du Conseil des Juges.
  • En étant à l’origine d’un « Haut Fait », c’est-à-dire d’avoir réalisé une action particulièrement héroïque pour Hiromae ou vis-à-vis de la Royauté.


  • Être Noble
    Il n’existe pas de hiérarchie particulière entre les différents nobles ; seul leur éventuelle poste leur attributs des missions particulières. Il existe en revanche des droits et des devoirs qui sont commun à tous les nobles :

  • Tout nouveau noble se voit attribuer un lieu de résidence à Itakami.
  • Tout nouveau noble se doit de créer son blason pour le représenter à la cour. Ce dernier devra suivre les règles de l’héraldique.
  • En cas de crise sur Hiromae, les nobles doivent impérativement apporter leur soutien au Trône, que cela soit de manière financière ou politique.
  • La Cour a un droit de véto sur les nouvelles lois que le Souverain souhaite instaurer. Il faut pour cela que 60% des nobles s’opposent à cette dernière, lors d’une Assemblée Extraordinaire. Cette dernière doit être ratifiée par 10 familles nobles différentes pour pouvoir avoir lieu.
  • Tous les ans est organisé le Grand Bal, fête durant laquelle tous les nobles de la Cour sont conviés. Il est très mal vu de ne pas participer à l’évènement.

    A savoir qu’un titre de noblesse n’est pas synonyme de richesse. En effet, beaucoup d’entre eux ont un revenu modeste ou légèrement au-dessus de la moyenne. Leur noblesse ajoute souvent un « plus » à leurs activités, car c’est souvent signe de prestige ; on citera par exemple de Renald Lebon, pâtissier devenu célèbre qui, après son anoblissement, a vu ses ventes doubler du jour au lendemain. Certaines familles nobles sont également très atypiques, comme celle des Thasborned, qui fût anobli pour avoir sauvé l’Île de la famine grâce à une potion révolutionnaire. Ils vivent cependant toujours dans leur ferme dans les Plaines du Vent, s’occupant de leur champs et vivant comme de simples agriculteurs, bien loin de la vie de noble dans l’imaginaire collectif.

    Les postes décernés par le Roi, comme ceux de Seigneur ou Dame, sont en revanche généralement très bien payée.


  • L'Opinion Publique
    La noblesse est, en général, plutôt bien vu par les habitants d’Hiromae. La noblesse ne faisant pas preuve d’un faste exubérant, les citoyens voient plutôt dans ce titre une valeur honorifique qu’une véritable démarcation de supériorité. Une certaine partie de la population étant également séculaire, on peut admettre que certaines mentalités soient encore un peu « vieux jeu » sur ce genre de sujet, et la polémique reste donc assez faible.

    La révolution a cependant remis certaines contestations sur le tapis, comme le fait qu’il deviennent automatiquement propriétaire d’un bien à Itakami, où encore qu’ils soient les seuls à avoir un droit de véto sur le Roi, alors qu’ils ne sont pas élus par le peuple.


    La Noblesse

    dimanche 6 août 2017
    Posted by Hiromae
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    Le Tribunal
    Le Tribunal d’Hiromae est l’un des plus vieux bâtiments de l’île. Créé en 607 AP JC, c’est également l’un des édifices les plus notables d’Itakami. Construit dans un style grec corinthien, ce n’est pourtant pas l’aspect artistique qui marque le plus, mais plutôt ses pierres qui forment la structure, noires à l’aspect volcanique, ayant des reflets bleus iridescents. En effet, le Tribunal a été créé en parti grâce à l’utilisation d’un Crystal, ce qui a eu pour conséquence d’enchanter de manière permanente les briques de celui-ci. Le résultat : le lieu est totalement imperméable à toutes formes de magies ou de pouvoir. Toutes les personnes pénétrant entre les murs se retrouve donc au même plan qu’un simple humain, sans capacités surnaturels. Il en va de même pour les objets, ou les éventuelles altérations dû à une potion par exemple. Seul la force « naturelle » de l’individu reste intact.

    Le Tribunal est ainsi un lieu où les jugés (comme les juges) ne peuvent pas altérer de quelques manières que ce soit la séance, ni mettre en danger la vie des personnes présentes.


    Le Conseil des Juges
    Le Conseil des Juges est composé de 5 personnes choisit par le Souverain. Il est d’usage qu’il soit renouvelé à chaque nouvelle passation de pouvoir. Son rôle est d’établir la sentence à toute affaire traduite devant le Tribunal. Le jugement doit recueillir un vote de 3 des juges minimum pour être valide ; à l’exception de la peine de mort, où le Conseil doit se prononcer de manière unanime. Une personne nommée juge devient noble dès son accession au poste.

    Le Conseil peut être dissout et remplacé à la demande des Administrateurs de Justice, si il est prouvé que ce premier est trop souvent rappelé à l’ordre pour vice de procédure ou sentence inappropriée.


    Les autres postes liés au Tribunal
    Les Administrateurs de Justice, qui sont au nombre de 3, sont chargés de répertorier tous les jugements et de la conservation des documents au sein même du Tribunal. Ils sont également chargés de s’assurer qu’aucun vice de procédure n’a été commis, que ce soit du côté de l’accusé, de l’accusant ou du Conseil mais aussi de s’occuper des affaires remisent en appel. Ils ne sont pas mis en place par le Roi, mais élu par le peuple. Ces élections sont en revanche souvent peu populaire, et le taux de participations dépasse rarement les 50%. Elles ont lieu tous les 50 ans. Il n’y a aucun prérequis pour postuler en tant qu’Administrateurs. Les campagnes sont financées par la Royauté, qui fixe une somme égale à tous les participants, afin de garantir une égalité entre ces derniers.

    Les Gardiens de Justice, qui sont au nombre de 2, ont pour mission de s’assurer de la bonne mise en place des peines. Ce sont notamment eux qui organisent les sessions de travaux d’intérêt général, en en déterminant le lieu et l’objectif. Ils sont systématiquement des membres de la Garde Royale, et sont élu par ces derniers. Leur mandat est de 5 ans.

    Le Bourreau est, comme son nom l’indique, la personne s’occupant d’exécuter la sentence finale sur les condamnés à mort. Il est mis en place par le Roi.


    Le déroulement d'un procès
    Ce sont les soldats de la 5e légion qui sont chargés de récupérer les plaintes et de les formuler de manière administrative. Après une enquête menée au besoin par des membres de la 4e légion, un courrier magique est envoyé à la personne accusée afin de la sommer de se rendre au Tribunal à une date et une heure précise. Si elle ne se présente pas, la légion lié à la région où l’individu habite (Miyora, Zone Montagneuse, Zone Côtières…) sera chargé d’aller le chercher afin de le forcer à se rendre à son procès.L’accusé peut se payer un avocat ou en accepter un qui lui sera commis d’office. Il peut aussi émettre le souhait de se défendre seul devant les juges.

    Le procès s’ouvre toujours sur la lecture des fautes chargés sur l’accusé. L’accusant peut être présent lors du procès et s’exprimer à la demande des Juges. Une fois la plaidoirie effectuée, les Juges se retirent dans une arrière salle pour débattre. La sentence est prononcée après concertation, chaque membre du Conseil exprimant son jugement final : coupable ou non coupable.

    Faire appel après une condamnation est possible, que l’on soit accusé ou accusant. Une demande officielle doit être faite auprès des Administrateurs de Justice, qui seront chargés soit de trouver un vice de procédure, soit de prouver que le jugement rendu est inapproprié (qu’il soit trop laxiste ou trop sévère). Si les faits sont avérés, le jugement est considéré comme nul et non avenue, et le procès doit de nouveau avoir lieu.



    Les enfants des Vents sont des êtres issus des tempête et des bourrasques. Ils sont connus pour être de très bon artiste mais également pour avoir une philosophie de vie centrée autour de la liberté.


    Histoire
    L’histoire des enfants de Vents débuta par une grande guerre. Peu après leur naissance, qui eut lieu probablement lors de la période Néolithique, ils se regroupèrent naturellement en Clan, déterminé par le vent dont ils étaient issus (alizée, zéphyr, mistral) … Leur mode de vie fût très vite nomade ; néanmoins, les rencontres avec d’autres clans étaient toujours mouvementées. Personne ne saurait expliquer pourquoi les enfants de vents faisaient preuve d’autant de violence entre eux. Les historiens pensent à ce jour que les Venteux sont la race enfantine qui mis le plus de temps à se détacher de l’élément naturelle dont il était issu, et qu’ils gardèrent pendant très longtemps un instinct presque animal, alimenté par les violences des tempêtes. Les siècles passèrent et ils finirent par voir la nécessité d’instaurer une paix durable entre les Clans, afin que leur race ne disparaisse pas. La guerre avait en effet fait beaucoup de mort et plus de la moitié de la population avait été décimée. Ils choisirent donc de mettre en place le système des Représentants, qui se retrouvèrent une fois tous les 10 ans afin de déterminer les itinéraires des différents Clans, pour que ceux-ci se croisent le moins possible. Ainsi, ils espéraient calmer le jeu.

    C’est ce qui se passa. Les enfants de Vents purent, chacun de leur côté, découvrir de nouvelles civilisations grâce à leurs différents voyages. Parcourant le monde, ils gagnèrent en sagesse et en 1539 fût organiser la première rencontre entre deux Clans : le Levanter (vent soufflant au niveau du détroit de Gibraltar) et le Foehn (vent des Alpes). Les retrouvailles furent bénéfiques, chaque groupe discutant avec l’autre, apportant un peu de sa connaissance, quelques cadeaux de leur périple, etc… Cette première rencontre en amena d’autres, et bientôt tous les enfants des Vents furent réconciliés.

    A l’heure actuelle, la plupart d’entre eux parcours toujours la Terre, préférant cependant les côtes et les endroits montagneux, là où le vent souffle fort. Quelques-uns d’entre eux s’impliquèrent auprès des humains pendant les années 60-70 avec le mouvement hippie, mais leur impact reste mineur.



    Particualrités
    Naissance asexuée : Les Enfants des Vents est la seule race connue à ce jour qui nait de manière asexuée. Le nouveau-né ne possède en effet aucuns organes génitaux ou reproducteur, son entrejambe étant « lisse » et disposant que d’un urètre. Ces naissances hors du commun ne sont répertoriés uniquement que si les deux parents sont des Enfants de Vents.

    Le Jour du Chemin : C’est ainsi que l’on appelle le jour où un Venteux né asexué doit faire son choix. En effet, le jour de l’anniversaire de ses 15 ans, l’individu doit faire le choix s’il continuera sa vie en « lui » ou en « elle ». Une fois la décision prise, ses organes génitaux et reproducteur apparaîtront comme par magie… Notons que l’Enfant des Vents asexué peut également choisir de le rester, même si ce choix est beaucoup plus rare.


    Us & Coutumes
    Les Clans : Les enfants des vents ont pour habitudes de se regrouper en Clan quand ils sont ici du même vent. Il est à noter cependant qu’il n’y a aucune règle de vie établie, et que le Clan est uniquement là pour permettre au venteux de vivre leur vie nomade en communauté. Il n’y a pas de chef, et n’importe qui est libre de partir ou de revenir quand il le souhaite. Tous les individus qui voudront retrouver leur groupe pourront le faire en suivant leur instinct et se « laisser porter au grès du vent », qui les ramènera naturellement vers leur Clan. Les membres du groupe sont souvent plus des « compagnons de voyage » qu’autre chose. Ils regroupent en général entre 50 et 100 individus.

    La Cérémonie de l’Union : Organisé tous les 10 ans, cet évènement à pour but de continuer à consolider les liens entre les différents Clans, afin de ne pas retomber dans le travers des rivalités et de la guerre qui a autrefois déchirées les Enfants des Vents. Chaque Clan envoie un représentant qui a été élu par sa communauté. Le lieu de la rencontre est tenue secrète et change pour chaque nouveau rendez-vous. La célébration dure 3 jours, durant lesquelles les différents Représentants échangent histoire de leur fratrie et présents.

    Le Vent de Liberté : C’est le nom donné par les Enfants de Vent au Souffle qui serait au-dessus de tous les autres, et qu’on ne pourrait atteindre que de manière spirituelle. Leur philosophie de vie est en effet tournée vers le Liberté de penser, d’agir, et entraver quelqu’un est un acte très mal vu dans leur communauté. Cette pensée explique aussi leur mode de vie nomade ; il est en effet extrêmement rare pour un Venteux de s’installer quelque part et de devenir casanier.



    Vie à Hiromae
    Il existe trois Clans originaire d’Hiromae :
  • Le Clan du Vent des Géants, un vent de montagne particulièrement fort, qui souffle souvent sur Damehas (en particulier en automne) et qui semble provenir du Pic d’Irakai
  • Le Clan du Vent du Carillon, brise marine qui souffle sur la côte de Liniar en été, et qui tire son nom du son aigu qu’il produit lorsqu’il s’engouffre dans les criques ou les ruelles de la ville portuaire
  • Le Clan du Vent Perpétuel, vent qui souffle semble-t-il en continue sur les biens nommés « Plaine du Vent », qui peut se faire tantôt doux, tantôt très animé.

    Ce sont des fratries très particulières, car elles sont les dernières à être nés directement du Vent. Ces clans sont en effet apparut après la Réunifcation de l’Île (603 AP-JC). Elles ont ainsi échappé à la guerre qui a déchiré leur race. Ce sont également des petites communautés, car elle regroupe entre 20 et 50 individus. Leurs Représentants font parties des rares personnes à avoir le droit de quitter l’Île, afin de pouvoir se rendre à la Cérémonie de l’Union.

    Pour ce qui est des Enfant des Vents né à l’extérieur d’Hiromae, faire le choix devenir insulaire est souvent un sacrifice, car il se privent de leur amour du voyage. Néanmoins de plus en plus de gens de cette race décide de franchir le pas de rejoindre l’Île (en particulier lorsqu’ils commencent à devenir âgé), la vie nomade devenant de plus en plus compliqué à assumer avec le nouveau mode de vie international des humains, sans parler des problèmes liés à la pollution, qui touche une majorité des races enfantines. Ainsi, jusque dans les années 1980 seulement 10% des Enfants des Vents présents sur Hiromae étaient issus de l’extérieur. Ce ratio est monté à 30% à l’heure actuelle.


  • Enfants des Vents

    jeudi 3 août 2017
    Posted by Hiromae
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