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// On :mardi 14 juin 2016
Généralités
Le système judiciaire d’Hiromae est assez semblable à ceux qui existent partout dans le monde, et ce sont ces spécificités qui vont être évoqués ici. L’une des premières choses à savoir et que ce dernier ne sanctionne et ne protègent que les individus appartenant à une race ayant ratifié le Traité (cf. article sur le « Traité des Races »).
La justice est, presque toujours, gérée au cas par cas. Il existe en effet trop de races, de pouvoirs, de cultures différentes sur l’Île pour émettre une vérité générale et une morale universelle. Cela rend le process parfois long, mais il est jugé efficace par la plupart des habitants. Pour ce qui est de l’organisation de la Justice, elle sera décrite dans la partie suivante.
La justice est, presque toujours, gérée au cas par cas. Il existe en effet trop de races, de pouvoirs, de cultures différentes sur l’Île pour émettre une vérité générale et une morale universelle. Cela rend le process parfois long, mais il est jugé efficace par la plupart des habitants. Pour ce qui est de l’organisation de la Justice, elle sera décrite dans la partie suivante.
Lois
Comme partout ailleurs, le vol, viol, meurtre, et autre délit du même acabit est interdit et punit. Nous n’allons donc pas nous attarder sur les choses qui coulent de source, mais plutôt énuméré les lois spécifiques à Hiromae :
La Majorité : Il n’existe pas de majorité à proprement parler. Il est en effet très compliqué de parler de maturité en terme d’âge, certaines races ayant une existence très longue ou très courte, et une intelligence plus ou moins développée. Tout citoyen de tout âge est donc invité à s’exprimer lors d’éventuels referendum, et à participer à la vie de la société.
Pour ce qui est de la consommation d’alcool, de tabac, et d’éventuelles drogues, il est demandé à chacun de répondre de ses actes. Ainsi, rien n’est interdit en tant que tel, mais si un enfant d’une dizaine d’année se fait prendre en état d’ébriété par exemple par des autorités compétentes, il sera sans aucun doute sanctionné.
De manière plus concrète, un enfant est considéré « adulte » le jour où il quitte la sphère familiale (ou tout autre tutelle l’ayant gérer de sa naissance jusqu’alors), et c’est cette étape qui sert en général de point de repère pour juger la personne mature et pleinement responsable de ses actes, ou non.
Il n’existe pas non plus de majorité sexuelle en tant que telle, mais plutôt des règles morales à ne pas franchir. On attendra ainsi que l’individu soit arrivé à « maturité sexuelle corporellement parlant (notamment avec l’apparition des premières règles chez les femmes), qu’il ait pleinement conscience de ce qu’implique un acte sexuel, et qu’il soit bien évidemment consentant.
Le Respect du Libre Arbitre : Pierre angulaire de la Justice sur Hiromae, il s’agit ici de laisser à tout individu le droit et la possibilité de choisir lui-même ses pensées et ses actions. C’est l’une des lois les plus compliqués, et très subtile dans sa manière d’être traité. En effet, il s’agit ici de ne pas avoir d’influence « décisive » sur la vie d’un individu : un choix de vie, un changement de physique, tout ce qui pourrait amener la personne à changer de ce qu’il est. Sont donc autorisés les contrôles mentaux dit « léger » (obliger une personne à se taire pendant quelques minutes par exemple, prendre possession d’un corps pendant un combat). Toute manipulation entraînant des conséquences irréversibles ou la mort est donc sévèrement punie.
Les autorités ont mis en place certaines dispositions pour pallier à ce genre de problème en amont ; on pourra par exemple parler de la Coupe des Vœux lors du mariage, ou alors de la surveillance particulière de certaines races, comme les Succubes par exemple, afin d’éviter les débordements. Il en va de même pour les objets magiques ou potions avec ce genre d’effet ; les filtres d’amour dit « légaux » répondent à un certain nombre de critère, notamment sur leur durée et leur effet sur le long terme.
Loi de Succession : Loi concernant la Royauté, qui fixe la durée de vie d’un règne à 50 ans maximum. Pour plus de détails, cf. article.
Contact avec l’extérieur : Afin d’assurer une meilleure sécurité de l’Île et de préserver sa localisation secrète, les contacts avec des personnes de l’extérieur et strictement réglementé, voir même interdite dans la plupart des cas. On regroupe cette loi en deux parties :
Drogues & Objets Illégaux : Pour plus de détails, cf. article.
La Majorité : Il n’existe pas de majorité à proprement parler. Il est en effet très compliqué de parler de maturité en terme d’âge, certaines races ayant une existence très longue ou très courte, et une intelligence plus ou moins développée. Tout citoyen de tout âge est donc invité à s’exprimer lors d’éventuels referendum, et à participer à la vie de la société.
Pour ce qui est de la consommation d’alcool, de tabac, et d’éventuelles drogues, il est demandé à chacun de répondre de ses actes. Ainsi, rien n’est interdit en tant que tel, mais si un enfant d’une dizaine d’année se fait prendre en état d’ébriété par exemple par des autorités compétentes, il sera sans aucun doute sanctionné.
De manière plus concrète, un enfant est considéré « adulte » le jour où il quitte la sphère familiale (ou tout autre tutelle l’ayant gérer de sa naissance jusqu’alors), et c’est cette étape qui sert en général de point de repère pour juger la personne mature et pleinement responsable de ses actes, ou non.
Il n’existe pas non plus de majorité sexuelle en tant que telle, mais plutôt des règles morales à ne pas franchir. On attendra ainsi que l’individu soit arrivé à « maturité sexuelle corporellement parlant (notamment avec l’apparition des premières règles chez les femmes), qu’il ait pleinement conscience de ce qu’implique un acte sexuel, et qu’il soit bien évidemment consentant.
Le Respect du Libre Arbitre : Pierre angulaire de la Justice sur Hiromae, il s’agit ici de laisser à tout individu le droit et la possibilité de choisir lui-même ses pensées et ses actions. C’est l’une des lois les plus compliqués, et très subtile dans sa manière d’être traité. En effet, il s’agit ici de ne pas avoir d’influence « décisive » sur la vie d’un individu : un choix de vie, un changement de physique, tout ce qui pourrait amener la personne à changer de ce qu’il est. Sont donc autorisés les contrôles mentaux dit « léger » (obliger une personne à se taire pendant quelques minutes par exemple, prendre possession d’un corps pendant un combat). Toute manipulation entraînant des conséquences irréversibles ou la mort est donc sévèrement punie.
Les autorités ont mis en place certaines dispositions pour pallier à ce genre de problème en amont ; on pourra par exemple parler de la Coupe des Vœux lors du mariage, ou alors de la surveillance particulière de certaines races, comme les Succubes par exemple, afin d’éviter les débordements. Il en va de même pour les objets magiques ou potions avec ce genre d’effet ; les filtres d’amour dit « légaux » répondent à un certain nombre de critère, notamment sur leur durée et leur effet sur le long terme.
Loi de Succession : Loi concernant la Royauté, qui fixe la durée de vie d’un règne à 50 ans maximum. Pour plus de détails, cf. article.
Contact avec l’extérieur : Afin d’assurer une meilleure sécurité de l’Île et de préserver sa localisation secrète, les contacts avec des personnes de l’extérieur et strictement réglementé, voir même interdite dans la plupart des cas. On regroupe cette loi en deux parties :
- • Les sorties : Seul les autorités compétentes sont autorisées à faire des allers retours réguliers sur Hiromae ; dans les faits, moins d’une cinquantaine de personnes ont cette autorisation. On compte notamment tous ceux qui s’occupent de trouver les mutants en difficulté et de les contacter, Lilius Doard (le kami des bateaux qui s’occupent d’acheminer les gens sur Hiromae), et quelques autres personnes s’occupant de la sécurité de l’Île depuis l’extérieur (contre espionnage).
Des autorisations exceptionnelles peuvent être attribués, notamment lors de grands évènements liés au monde magique, ou étant extrêmement important pour une race entière, comme le Conseil des Archimages, ou celui des Valkyries. Cependant, le motif d’une sortie ne peut pas être strictement personnel, comme aller rendre visite à un proche.
Dans les faits, une fois arrivé sur Hiromae, il est extrêmement difficile d’en repartir, et toute sortie peut s’avérer définitive. La quasi-totalité des natifs n’ont ainsi jamais visité le monde extérieur.
• Les prises de contact : Décider de venir sur Hiromae, c’est également prendre la décision de ne plus avoir de contact ou de nouvelles des personnes que l’on connaissait à l’extérieur. Il est en effet impossible de recevoir des lettres. En envoyer peut-être autorisés, mais seulement pour signaler un évènement majeur dans la vie de la personne (faire part d’un décès ou d’une naissance en règle générale). Le contenu de ces lettres est extrêmement surveillé et passe toujours entre les mains de la douane avant d’être envoyé.
Il est possible de faire une demande auprès des autorités pour prendre des nouvelles de proches restés à l’extérieur, notamment la famille. La procédure est assez longue, car beaucoup de personnes sont en demande, pour peu d’agent habilités à y répondre. Les demandes sont limité à une par personne tous les 5 ans.
Pour ce qui est des contacts effectués via pouvoir ou magie, elles doivent être elle aussi encadré, notamment par la présence d’un représentant dans l’autorité d’Hiromae (souvent la Garde Royale). Toute tentative de contacter l’extérieur de l’Île sans autorisation au préalable est passible de poursuite.
Drogues & Objets Illégaux : Pour plus de détails, cf. article.
Sanctions
Amende & Travaux d’intérêt général : Ce sont les sanctions les plus pratiqués, notamment pour les petits délits (trouble à l’ordre public, vol à l’étalage ne dépassant pas une certaine somme, etc). Il est possible d’être sanctionné avec les deux méthodes, cependant une personne n’ayant pas assez d’argent pour payer une amende pour demander à rallonger ses heures de travaux d’intérêt général ; l’inverse n’est cependant pas possible.
Quelques exemples travaux d’intérêt généraux : nettoyer une ville / un quartier, aider à la construction d’un bâtiments publics, chasser des monstres, aider aux récoltes ou à la mine, etc. Ils sont toujours encadrés par des membres de la Garde Royale. Le condamné n’a bien sûr pas le choix sur le travail qu’il doit accomplir, même si les Juges attribuent tout de même des choses réalistes comparés au capacités (notamment physique) de la personne.
Emprisonnement : La peine d’emprisonnement est employée lors de crimes majeurs, comme les meurtres ou les viols. Il est assez rare de voir des peines courtes, la plupart des séjours en prison n’allant pas en dessous de la barre des 10 ans. Les conditions de vie des prisonniers restent assez flous, car la Prison d’Hiromae elle-même est cachées aux yeux du grand public. On sait cependant que la vie n’y est pas très gai ; les cellules sont individuelles et scellé magiquement – c’est une des rares zones morte en mana volontairement entretenue sûr l’Île. Chaque cellule dispose d’un lit et d’un nécessaire pour la toilette. La mémoire des condamnés est partiellement effacée lors de sa sortie, afin de préserver les lieux secrets.
Peine de mort : Elle est encore pratiquée sur Hiromae. Utilisée de manière régulière lors de la Révolution, la fréquence des exécutions a cependant nettement diminué depuis ; pas assez au goût de certains citoyens. Les exécutions se font au sein même du tribunal, par décapitation. Sont passible de peine de mort les crimes de lèse-majesté, les meurtres ou les viols particulièrement violents.
Quelques exemples travaux d’intérêt généraux : nettoyer une ville / un quartier, aider à la construction d’un bâtiments publics, chasser des monstres, aider aux récoltes ou à la mine, etc. Ils sont toujours encadrés par des membres de la Garde Royale. Le condamné n’a bien sûr pas le choix sur le travail qu’il doit accomplir, même si les Juges attribuent tout de même des choses réalistes comparés au capacités (notamment physique) de la personne.
Emprisonnement : La peine d’emprisonnement est employée lors de crimes majeurs, comme les meurtres ou les viols. Il est assez rare de voir des peines courtes, la plupart des séjours en prison n’allant pas en dessous de la barre des 10 ans. Les conditions de vie des prisonniers restent assez flous, car la Prison d’Hiromae elle-même est cachées aux yeux du grand public. On sait cependant que la vie n’y est pas très gai ; les cellules sont individuelles et scellé magiquement – c’est une des rares zones morte en mana volontairement entretenue sûr l’Île. Chaque cellule dispose d’un lit et d’un nécessaire pour la toilette. La mémoire des condamnés est partiellement effacée lors de sa sortie, afin de préserver les lieux secrets.
Peine de mort : Elle est encore pratiquée sur Hiromae. Utilisée de manière régulière lors de la Révolution, la fréquence des exécutions a cependant nettement diminué depuis ; pas assez au goût de certains citoyens. Les exécutions se font au sein même du tribunal, par décapitation. Sont passible de peine de mort les crimes de lèse-majesté, les meurtres ou les viols particulièrement violents.
